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Infos, histoires sur tout, sur rien, selon l'humeur...

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vendredi 30 novembre 2007

C'est pour janvier !

En tous cas, ça se confirme. Le règlement de la vente de la société se fera le 2 janvier. Faut-il s'en réjouir ?

évidemment, ça ne tombe pas bien pour les cadeaux de noël, je l'avais déjà fait remarquer. Par contre, c'est peut être pas si mal pour les impôts... Un règlement en 2008, ça ira aux impôts de 2009. En jouant sur la mensualisation, ça traînera même jusqu'en décembre 2009...

Au final il faudra bien les payer ces fichus impôts, mais en sachant combien et en ayant du temps devant soi, ça va permettre de réfléchir à faire fructifier un peu... Jouer au capitaliste quoi !

Peut être même, en ayant une année complète devant soi, de trouver quelques placements défiscalisant. Il va falloir que j'en parle avec mon banquier.

mercredi 28 novembre 2007

Historique (VIII)

EDIT : à la demande de certains intéressés, les prénoms ont été masqués

Un petit saut vers 2005, l'année ou finalement, ça va vraiment clasher.

Depuis 2004, je suis investi de la direction générale même si cette nomination s'est faite de manière un peu floue.

Et donc, depuis ce temps là, je m'emploie à améliorer l'entreprise, en cherchant à mettre en œuvre des idées que j'emmagasine depuis un moment ; je fais mon boulot de DG quoi.

Evidemment, tout ça se passe plutôt pas mal avec certains et plutôt mal avec d'autres.

Je mets donc en place plusieurs trucs, le site web, la recherche de nouveau collaborateurs, le développement d'une nouvelle application, le suivit des incidents, etc...

C'est justement sur ce dernier point, le suivit des incidents, qu'un premier problème arrive. J'effectue une recherche des produits existant sur le marché, en termes de logiciel de gestion des incidents, et j'en voie un premier. Présentation intéressante, bon produit. J'en parle à G* qui très justement me dit qu'il faudrait en voire au moins un autre pour faire la comparaison. Il en contacte donc un autre qu'il voit lui même un jour ou je suis en déplacement. A mon retour, il me dit qu'il est formidable, et qu'il faut le prendre. Moi j'ai vu le premier, lui le second, il faut qu'on se fasse confiance pour le choix. A priori, je n'ai pas d'objection.

Et là, coup de théâtre, il décide que le projet sera porté par A* qui se voit confier la direction du SAV. C'est une super idée, parce que moi, ça ne me plait pas, et lui non plus, qui hérite d'un projet dont il n'a pas eu l'idée (si j'étais méchant, allez, je le suis, je dirais que c'est habituel qu'il n'ait pas d'idée).

Le produit est acheté, installé et les formations commencent.

Comme c'est un moment où je suis souvent absent, je ne suis ça que de très loin.

Le jour où je peux enfin être présent à une formation, j'ai une série de questions en rapport avec mon objectif initial, lorsque j'ai initié ce projet (intéressant à ce propos qu'on ne m'ait jamais demandé à ce moment là ce que j'avais prévu) : résultat : le produit n'est pas capable de réaliser la moitié de ce que je voulais, comme le suivit de versions, l'édition de fiches de préparations par affaires, etc...

Je le dis : regard noir d'A*. C'est trop tard pour changer maintenant, etc...

Conclusion, 2 ans 1/2 après, le produit n'est toujours pas opérationnel. En fait, il n'a jamais servit à personne pour le moment.

La fin d'année arrive.

Traditionnellement, c'est le moment où G* parle des augmentations.

Il est de la vielle école : les augmentations se décident en fin d'année sur une base commune à tout le monde.

Je n'ai jamais compris ce genre de raisonnement. Comment peut-on motiver les gens si on donne à tout le monde la même chose qu'il bosse ou non ?

Il me semblerait logique d'augmenter les bons éléments à la suite d'une action particulièrement bien menée par exemple. N'importe quand dans l'année, une petite gratification, une forme de reconnaissance du travail bien fait, mieux peut être que ce que l'on attendait au début, ou la mise en pratique d'une idée originale...

Là non, on est tout le même panier, sur une grille de salaire, comme dans l'administration.

Passons.

Je dis donc à G* que compte tenu de mes nouvelles attributions, et des résultats de l'année écoulée, il me semblerait normal d'avoir, non pas une augmentation, mais une nouvelle base de salaire.

Refus catégorique. Je peux prétendre à une augmentation, mais pas question d'avoir un salaire plus élevé qu'A*. Le motif : on est rentré au même niveau, on reste au même niveau. Je m'insurge, je dis que c'est n'importe quoi (A* est là aussi mais il ne dit rien, en fait il a déjà parlé avec lui avant sans moi). Au final j'aurai une gratification de 100 € de plus !

Voilà comment on dégoute quelqu'un de se donner à son travail.

C'est là typiquement le genre de décision qui vous met en rogne et ne vous donne qu'une envie : claquer la porte et aller faire sa vie ailleurs.

Je ne l'ai pas fait (pas encore) pour une raison très simple : on commence à ce moment là à parler de vendre la boite, avec des acheteurs potentiels identifiés. Ce n'est donc pas le moment de partir et de risquer de perdre plus gros encore.

Mais c'est le début de la roue libre.

mardi 27 novembre 2007

Un report de plus

Ce soir, je suis à Rabat (maroc) pour 2 jours. Toujours pas pour des vacances, mais pour le boulot. En partant à l'aéroport, je croise Georges, le comptable, qui m'apprend que le règlement de notre affaire ne se fera sans doutes pas avant le 2 janvier pour ce qui est des versements à titre personnel. Le 2 janvier ! Même pas un bon cadeau de noël ! Finalement, ils commencent à être lourds ces américains.

lundi 19 novembre 2007

Romuald

J'ai rencontré romuald en début de cette année dans le groupe de repreneurs du CRA.

C'est un garçon charmant quoiqu'un peu rapide parfois. Par certains cotés, il ressemble à notre président...

Donc Romuald a intégré le groupe de prepreneurs avec pour projet de reprendre une société dans le génie climatique. De son propre aveux, il n'y connait rien, mais d'après lui c'est pas très grave. En plus du CRA, il s'est inscrit à l'APERE histoire de multiplier les contacts.

D'entrée de jeu, il prend des contacts. Il faut dire qu'il s'est mis dans une situation de réussite obligatoire. Il a quitté toute activité et ses allocations arriveront à terme en fin d'année.

Il a déjà un expert comptable avec lui pour l'aider à l'analyse des dossiers de reprise. Sa force réside en effet plus sur le commercial, la gestion d'équipe, le côté humain. Il reconnaît lui même quelques faiblesses en terme de finance et technique. Il participe d'ailleurs pour cela à une micro formation à la chambre de commerce de paris afin de combler (partiellement) ses lacunes.

Il s'obstine malgré sa méconnaissance technique pendant un bon moment dans son projet de génie climatique, plomberie voire même charpente.

Autre point fort pour lui, il n'a pas de contingence géographique.

Il envisage un moment de se rapprocher de Jean (en fait c'est Jean qui cherche à se rapprocher de Romuald) pour une reprise commune, ce dernier étant d'un profil très complémentaire (expert comptable, mais faible en commercial) Mais la reprise à deux est encore plus difficile que la reprise tout seul. L'idée tourne court.

Au fur et à mesure de nos réunions, romuald est certainement le plus actif. Chaque fois, il nous raconte les différents cédants qu'il a raconté, les voyages dans différentes régions, etc...

Finalement, après les vacances d'août, il a décidé d'aller voir un peu plus loin et s'est donc fait un petit voyage aux US.

La Floride ne lui plaisait pas, alors il est parti voir en Californie. Là, il rencontre un fabriquant de clôtures. Quand je dis qu'il est rapide, c'est que ce voyage n'a pas duré très longtemps, qu'il a eu le temps de voir 7 entreprises, de trouver un avocat pour l'immigration et un autre pour le contrat.

Les autres entreprises visitées étaient dans la boulangerie industrielle, la sécurité, la bijouterie... Dis Romuald, tu te souviens du génie climatique ???

Enfin bref, il retourne aux US pour finir les due diligences et finalement signe.

Il a repris le 8 novembre (premier contact avec le vendeur le 15 septembre) et s'est donc installé à Los Angeles. Madame et les enfants suivront en temps voulu.

Félicitations encore une fois Romuald pour ton parcours si instructif et surtout ton énergie.

Là encore, tu démontres que ce n'est pas en attendant que les choses arrivent et que si tu ne provoque pas ta chance, alors tu ne peux que te lamenter.

Merci pour ton exemple. Et qui sais, à bientôt peut être à L.A.

mardi 13 novembre 2007

Historique (VII)

EDIT : à la demande de certains intéressés, les prénoms ont été masqués

2004 marque un tournant des plus importants pour notre société.

P*, le P-DG créateur décède brutalement, d'une crise cardiaque (version officielle).

En fait, il était déprimé depuis un bon moment, refusait de se soigner et a sans doutes traîné quelque chose pendant un bon moment.

Forcément, à ce moment là la société comptant une dizaine de personnes, les choses changent en grand.

Je passe sur la veuve qui se retrouve sans rien parce que pas mariée (20 ans de concubinage n'auront pas suffit) et aucun papier de fait pour les assurances. c'est finalement le fils unique du précédent mariage qui récupère l'héritage avec en cadeau près de 30 % des actions.

Je reviendrait sur ce qui en est advenu.

G*, le DG actionnaire majoritaire après P* prend la présidence.

Il faut un DG pour le remplacer. Je me propose pour le poste qui à mon avis me revient de droit. Mais c'est sans compter sur ce cher A* qui se laisse porter depuis le début mais veut en croquer.

Je revois la scène. Nous sommes tous les trois un soir à discuter de l'avenir (qui n'est plus bien tracé)

G* annonce qu'il faut que l'un d'entre nous soit DG et l'autre administrateur. Je dis que je veux le poste de DG, je lui en ai déjà parlé. A* ne dit pas grand chose si ce n'est que ce ne sera pour lui qu'un "titre". On tope là, les choix sont fait. Tout parait simple et limpide mais en y repensant, j'avoue n'avoir pas bien réagi ce soir là.

Finalement, je n'ai pas été nommé par le président (même si c'est ce qui sera marqué plus tard dans les comptes rendu d'assemblées qui n'ont jamais lieues). il s'en est bien gardé de manière à ne pas me légitimer et de se protéger d'A*. Je me suis autoproclamé.

A* ne reconnaîtra jamais mon poste, considérant que ce n'est qu'une carte de visite.

Forcément, comme la légitimité n'est pas reconnue publiquement, je vais galérer pour faire valoir ce poste aux autres employés.

De plus, le poste est celui d'un DG délégué. Sur le moment, ne connaissant pas la différence, j'y accorde peu d'importance. Aujourd'hui, je le regrette. J'aurai certainement dû refuser, mais j'ai péché par vanité.

Et c'est à partir de ce moment là que les problèmes vont commencer. Les mêmes qui perdurent mais que j'espère résoudre à l'issue de la vente.

lundi 12 novembre 2007

Entretien téléphonique

Vendredi dernier était normalement un jour de rencontre du CRA. J'ai déjà dit tout le bien que je pensais de cette association et des rencontres intéressantes qu'elle permettait. Or donc, le groupe de repreneurs auquel j'appartient se délite petit à petit, et ce pour diverses raisons. Jean par exemple ne donne plus de nouvelles depuis plusieurs mois. Romuald a trouvé une entreprise à reprendre, aux états unis, et il est parti (je reviendrai un de ces 4 sur son parcours à la fois étonnant et exemplaire) Thierry et Anne-Charlotte viennent toujours habituellement, même si la volonté de reprise chez eux est moins évidente avec le temps, comme pour mois d'ailleurs, et que nous nous orientons un peu vers la création tout en gardant l'idée de reprise latente. Donc, comme les troupes s'éclaircissent, il a été décidé de fusionner avec un autre groupe de repreneurs qui lui aussi est assez clairsemé. Et vendredi, date était prise pour une rencontre de tout le monde. Mais au fur et à mesure que la date approchait, les désistements se sont multipliés jusqu'à ce que nous ne soyons plus que deux à vouloir être présents, moi même et Eric, qu'au demeurant je n'ai jamais rencontré. Nous avons donc convenu de faire notre rencontre téléphoniquement pour économiser nos déplacements (en plus c'est tout bon pour les émissions de CO2) Eric m'a semblé être un personnage tout à fait intéressant. De formation HEC option entrepreneur, il a travaillé dans l'industrie automobile puis dans une startup, dans les achats. Il veut aujourd'hui reprendre une entreprise plutôt industrielle, dans l'ouest parisien. De notre discussion, je retiendrai les quelques points suivants :
  • Une confirmation, on ne peut être repreneur qu'à plein temps. Entendre par là qu'il faut y passer tout son temps (et même plus) et qu'une approche en dilettante n'a qu'une très infime chance de réussir.
  • La recherche de l'entreprise à reprendre est très difficile. Une annonce de cession parue dans la presse est obsolète au moment de sa parution. Entendre pa là qu'il y a déjà 20 à 30 repreneurs sur le coup. De ce fait, il faut absolument jouer sur les réseaux, ou utiliser des intermédiaires en mandat passif (moins cher mais il ne faut pas être pressé) ou actif, mais là, c'est plus cher.
  • La création demande d'avoir des idées au départ (ça tombe bien j'en ai justement quelques unes) et surtout d'y mettre une énorme quantité d'énergie, tout en sachant que la réussite n'est jamais assurée.
  • La reprise présente quelques avantages : la structure existe, l'activité est là. Mais aussi quelques inconvénients : il faut mettre plus d'argent dans l'affaire, rien ne dit que le départ du dirigeant précédent ne va pas écrouler l'affaire.
L'un dans l'autre, les deux solutions sont difficiles et demandent du travail. Mais qui en aurait douté. Ce sont cependant les seules solutions qui permettent d'être son propre patron. Et ça, ça n'a pas de prix.

vendredi 9 novembre 2007

Les discussions avancent

Les discussions avancent, ou ont avancé en tous cas.

Suite à la rencontre de mon brillant P-DG aidé de nos non moins brillants conseils, le protocole va finalement être bouclé. Petit bémol sur la garantie de passif qui bloquera 500 K€ sur 18 mois dans la holding, puis le montant de l'échange d'action sur 5 ans. Autre chose, en plus du 1M€ de trésorerie, il faut fournir l'équivalent du BFR soit 400 K€ supplémentaires avant la fin de l'année. Comme on doit remonter une partie des actions en nom propre dans la holding pour l'équivalent en montant à la partie échange d'action, on fait appel à un commissaire aux apports, ce qui va prendre un peu de temps encore etc, etc En gros, au mieux, le chèque à la fin du mois (je ne sais plus depuis combien de mois je dis ça) voire mi décembre. Juste avant noël quoi. Un beau cadeau quand même !

jeudi 8 novembre 2007

Le contrat de cession d'action

Alors voila. J'ai un exemplaire de ce fameux contrat qui n'est pas suffisamment correct pour avoir retardé la signature. Je le lis et je vous donne mes impressions au fur et à mesure. Tout d'abord, présentation de l'acquéreur et des vendeurs (scindés entre la holding et les "managers" selon les termes du contrat. Certains vont voir leurs chevilles enfler... Puis un petit descriptif de la répartition des actions. Il est dit ce que fait ma société, que l'acquéreur exerce une activité similaire aux US et qu'il souhaite acquérir la totalité des actions (100 % c'est bien précisé) Le prix d'achat est donné (3,6 M€) avec des réserves pour ajustement post réalisation, à savoir :
  • Un fond de roulement net d'au moins (montant à préciser)
  • Une trésorerie d'au moins 1 M€
  • Présentation d'un bilan 10 jours avant la date de réalisation à la fin du mois civil précédant la date de réalisation (ici, il faudrait imposer le mois de septembre)
  • Au plus, l'ajustement peut représenter 250 K€.
  • L'acquéreur dispose alors de 3 mois de tests pendant lesquels il va déterminer le fond de roulement net et la trésorerie de la société qui serviront (après examen et approbation du vendeur) à calculer l'ajustement. En cas de litige, un expert indépendant est nommé pour trancher (je résume)
Ensuite, on parle du règlement. A la date de réalisation, les vendeurs reçoivent une fraction du paiement sauf pour la holding qui déduit 1 M€ à rinvestire chez l'acquéreur (l'échange d'action) Globalement, je touche 6,57% en numéraire plus mes parts dans la holding. Ensuite, un rappel des réalisations que devaient faire la société (approbation de la vente par le conseil d'administration, transformation en SAS, résiliation du contrat de service entre la holding et la société) Il est dit ensuite que les managers seront réintégrés et continueront de travailler dans la nouvelle société. Par contre le nouveau contrat de travail n'est pas défini... Enfin, le détail de la réalisation de la cession commence.
  • La date de réalisation
  • Les conditions de réalisation (obligations de l'acquéreur, du vendeur et mutuelles : il y en a 3 pages)
  • Les éléments à fournir par chacun
Viennent ensuite les engagement des parties Là, on est dans un beau formalisme juridique, reprenant en détails tout les aspects administratifs Tiens ils veulent transférer le siège social de la holding ailleurs que dans la société. Il faut tenir une gestion d'attente pendant la période de vente (pas d'action de quelque sorte que ce soit, pas de vagues en gros : une gestion de bon père de famille) Enfin, les déclarations et garanties Encore du verbiage de juriste (ne pas le prendre mal, c'est juste un peu long à lire) : la société doit exister, pas de faillite, les vendeurs peuvent vendre, les comptes sont sincères, pas de filiales, pas de contentieux ou procédure judiciaire, pas de conflit en cours avec les salariés, pas de problème environnemental, pas de biens immobiliers (les locaux appartiennent à une SCI) Un mot sur les licences des logiciels utilisés. Il va falloir que je fasse le tour des machines pour voir si personne n'utilise de truc piraté (et je sais déjà qu'il y en a) parce qu'on n'est pas censés le faire et qu'il va falloir l'écrire... Et puis aussi recompter les installations et les licences, à mon avis il en manque (des licences). C'est le bon moment pour remettre de l'ordre dans tout ça. Gros chapitre sur le fait que les produits que l'on a développé sont bien à nous, qu'ils sont protégés et tout le reste. Interdiction également d'utiliser du matériel open source. Alors là, il va falloir que l'avocat m'explique pourquoi... Les logiciels n'ont as de codes de neutralisation ou de malwares ou spyware ou de back door... Un mot sur les dommages (impayés aux impôts par exemple) avec là encore une longue liste de plein de cas possibles. Une clause de non concurrence avec les limitations suivante :
  • durée = 2 ans
  • étendue géographique = France et Belgique
  • champ d'application = concurrence à l'activité de la société
Les vendeurs sont solidaires : si 'un d'entre eux viole l'article de non concurrence, et que cela remet en cause le contrat d'achat. Viennent ensuite les cas de résiliation du contrat, clauses de confidentialité Un mot sur la langue du contrat : à discuter (mais en quelle langues discute-t-on ?) Voila. J'arrive au bout. Est-ce que ça resemble à quelque chose de classique ? Demains, je vois l'avocat pour savoir ce qu'il en pense !

lundi 5 novembre 2007

Pas vendue

Toujours pas vendue... Je rentre ce matin de mon excursion, et j'apprends que non, la signature est encore reportée d'une quinzaine de jours. Le protocole final est arrivé, et il comporterait tout plein de choses pas correctes, qu'il faut donc retourner discuter. Mon vaillant P-DG escortés de nos non moins vaillants avocats et comptables partent donc cette semaine pour l'Alabama (patrie de Forest Gump je le rappelle) pour discuter encore de tout ça ce jeudi. Je me procure le texte du dit protocole au plus vite pour me faire mon idée...